SANTÉ AU TRAVAIL
En 2005, 13% des salariés français attendaient plus de deux ans pour une visite. Ils sont presque 30% aujourd'hui.
Classement de la France sur la qualité de vie au travail : 22e sur 32 pays développés selon l'OCDE
Près de 60% des salariés souffrent du bruit au travail, selon une enquête publiée par l'association Journée nationale de l'audition (JNA).
Source : Capital
FORMATION AU TRAVAIL
32% des employés bénéficient chaque année d'une formation contre 41% en moyenne, et seulement 13% chez les seniors français.
Source : Argus de l'Assurance
TRAVAIL HYBRIDE
54,8% des sondés ont reconnu travailler davantage depuis l'hybridation du travail.
90% des salariés "vivent bien" cette nouvelle organisation du travail, qui leur permet d'avoir un meilleur équilibre vie professionnelle/vie personnelle.
40% des salariés estiment que la culture d'entreprise s'est dégradée depuis la mise en place de l'hybridation.
74,9% des sondés se sont prononcés positivement en faveur de la semaine de 4 jours.
Étude menée par : CFE-CGC de l'assurance
Source : Ouest-France
L'élimination du surcontrôle dans une entreprise entraîne une augmentation de 25% de la productivité.
Source : BFMTV
QUALITÉ DE VIE ET DES CONDITIONS DE TRAVAIL (QVCT)
L'élimination du surcontrôle dans une entreprise entraîne une augmentation de 25% de la productivité.
Lien : RMC
Étude menée par : Agence de conseil en immobilier JLL
43 % des collaborateurs ne considèrent plus leur entreprise comme un endroit où il fait bon travailler.
32% des employés bénéficient chaque année d'une formation contre 41% en moyenne, et seulement 13% chez les seniors français.
Source : Argus de l'Assurance
SEMAINE DE 4 JOURS
Plus d'un salarié sur trois serait prêt à voir baisser son salaire de 5% pour passer à la semaine de quatre jours.
Près de 90% des entreprises sont largement satisfaites de la semaine de quatre jours et seraient prêtes à la maintenir.
74,9% des sondés se sont prononcés positivement en faveur de la semaine de 4 jours.
Étude menée par : Groupe Manpower
Source : Ouest-France
PLACE DES CADRES AU TRAVAIL
Selon l'IFOP, la proportion de Français en activité affirmant que la place du travail dans leur vie était "très importante" est passée de 60% en 1990 à 21% en 2022.
20% des cadres sont attirés par les statuts d'indépendants.
Les femmes cadres gagnent 8% de moins que les hommes cadres, à profil et poste équivalents.
Selon l'étude, 79% des femmes cadres sont convaincues de l'importance de l'équilibre vie professionnelle/vie personnelle, et elles sont plus susceptibles de profiter de tous les jours de télétravail auxquels elles ont droit.
Chez les managers, cet écart est plus marqué, avec 63% des femmes et 48% des hommes qui profitent de tous les jours de télétravail auxquels ils ont droit.
Source : Courrier Cadres
QUÊTE DE SENS AU TRAVAIL
Seuls 24% des actifs français estiment que leur emploi a une place "très importante" dans leur vie quotidienne, selon l'IFOP.
60% des salariés estiment que leur employeur ne fait pas assez de choses pour faciliter leur vie de parent.
40% des salariés ont le sentiment de perdre leur temps au travail et de perdre leur existence dans une activité qui leur mange la journée.
51% des jeunes et les parents salariés ayant une famille nombreuse sont particulièrement concernés par le manque de temps et de sens au travail.
Selon une enquête ADP de 2019, 50% des Français sont favorables à la semaine de quatre jours.
Source : Solutions Les Echos
PLACE DES JEUNES AU TRAVAIL
36 % des jeunes de 18-24 ans estiment que l'entreprise ne donne pas assez de place à la parole et à la participation des salariés
29 % critiquent le management pour le manque de confiance et d'autonomie accordé aux salariés
Les rôles principaux d'une entreprise selon les jeunes : créer de l'emploi et embaucher des gens (51 %), donner les moyens aux salariés de s'épanouir au travail (41 %), contribuer au bien-être des salariés (36 %), favoriser l'égalité et la diversité (32 %), soutenir des causes sociales et environnementales (30 %).
Les jeunes salariés de moins de 24 ans représentent 41 % des démissions au cours des 24 derniers mois et ont des attentes spécifiques en termes d'engagement et de loyauté envers leur entreprise.
Sondage BVA pour la Fondation Jean-Jaurès et la Macif
Lien : Le Figaro
BIEN-ÊTRE ET SANTÉ MENTALE AU TRAVAIL
94% des Français considèrent que le bien-être mental est aussi important que le bien-être physique.
90% des salariés estiment que les difficultés psychologiques sont de plus en plus répandues au travail.
Près de 9 salariés sur 10 considèrent leur employeur comme responsable de leur santé mentale.
85% des salariés déclarent que leur fidélité à l'entreprise et leur motivation seraient renforcées si des actions concrètes en faveur du bien-être mental étaient mises en place.
80% des salariés seraient prêts à pratiquer une activité sportive en entreprise.
Seules 18% des entreprises ont mis en place des solutions pour pratiquer des activités sportives au sein de leur structure.
Source : Infos RH
76 % des travailleurs ont du mal à se concentrer sur ce qui compte vraiment
66 % signalent un risque d'épuisement professionnel
77 % des travailleurs affirment que leurs patrons leur causent le plus de stress
L'anxiété et le désengagement sont responsables d'une perte de productivité de 7000 milliards de dollars par an pour les entreprises
Source : Le Figaro
Source : Solutions Les Echos
PRODUCTIVITÉ AU TRAVAIL
La productivité a chuté de 3,6% en France entre 2019 et 2022.
Étude menée par Elabe pour l'Unédic
Source : Europe 1
DÉVELOPPEMENT DURABLE
70% des salariés estiment qu'un engagement de leur entreprise en faveur de la protection de l'environnement les inciterait à y rester durablement.
85% des actifs interrogés expriment une préoccupation ou une anxiété face à la situation de l'environnement.
38% souhaitent que leur travail contribue positivement à protéger l'environnement, tandis que 46% veulent qu'il n'ait pas d'impact négatif.
Seuls 20% estiment que leur travail actuel contribue positivement à la transition écologique.
Lien : Environnement : plus de 80 % des actifs veulent un travail en adéquation avec le défi climatique
Résultats de l'étude :
39 % estiment que leur travail n'a pas d'impact négatif
25 % déclarent ne pas savoir quel est l'impact de leur travail
16 % mentionnent un impact négatif
54 % estiment que le niveau de compétences des actifs n'est pas à la hauteur des enjeux écologiques
26 % envisagent ou ont déjà changé de métier, d'entreprise ou de secteur pour aligner leur vie professionnelle avec leurs préoccupations écologiques
Les conséquences du changement climatique sur la vie professionnelle citées : dégradation des conditions de travail (16 %), augmentation du prix de l'énergie, des matières premières et des transports (9 %), difficultés économiques pour les entreprises (6 %).
Source : Ouest-France.
EPANOUISSEMENT AU TRAVAIL
82 % des salariés considèrent que l'épanouissement au travail est important.
Les facteurs d'épanouissement les plus importants : un bon équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle (86 %), un environnement de travail sain (82 %), des relations de travail positives (80 %), une reconnaissance du travail accompli (76 %).
67 % des salariés estiment que leur entreprise ne prend pas suffisamment en compte leur bien-être.
55 % souhaitent que leur entreprise mette en place des actions en faveur de l'épanouissement au travail.
Les actions attendues : favoriser la qualité de vie au travail (35 %), améliorer les relations entre collègues (34 %), offrir plus de flexibilité (30 %), développer des actions de prévention des risques psycho-sociaux (27 %).
Source : Alliancy
76 % des travailleurs ont du mal à se concentrer sur ce qui compte vraiment
66 % signalent un risque d'épuisement professionnel
77 % des travailleurs affirment que leurs patrons leur causent le plus de stress
Source : Forbes
Engagement des salariés dans les entreprises
20 % des salariés ont démissionné au cours des deux dernières années.
58 % des dirigeants considèrent les démissions comme révélatrices d'un changement important dans la relation des salariés au travail.
Les motifs cités par les employés qui démissionnent sont une rémunération insuffisante (33 %), une mauvaise ambiance de travail (31 %) et un manque de reconnaissance (29 %).
Dans les entreprises de plus de 1000 salariés, le désir d'exercer une activité avec plus de sens est cité par 59 % des salariés, tout comme le souhait de se reconvertir (citée par 56 % des personnes).
La fidélisation est une priorité pour les entreprises de moins de 10 salariés, mais moins pour celles de plus de 250 salariés.
Selon l'étude, 62 % des salariés se disent satisfaits de leur situation actuelle et ne souhaitent pas la changer.
Bien que 40 % des salariés souhaitent donner davantage de sens à leur travail, ils préfèrent être mieux rémunérés (55 %) plutôt que de changer.
Lien : Nouvelleviepro