Plus qu’une mode, le bien-être est devenu une véritable injonction. Pour être plus productif, pour mieux s’entendre avec les autres, il faut baigner dans le bien-être. C’est-à-dire, bien manger, bien dormir, faire du sport, s’occuper de soi de l’intérieur et de l’extérieur.
Les remèdes au mal-être sont nombreux : le yoga, la méditation, le cocooning, le massage et les thérapies de toutes sortes. Pas surprenant alors que le marché du bien-être en France soit en pleine croissance. Celle-ci se réjouit d’une croissance annuelle de 7%.
En effet, l’heure est à l’“hyper-bien-être”. D’où l’invention d’applications qui sont capables de mesurer la qualité de notre sommeil et de notre respiration jusqu’au moindre détail : que ce soit du nombre de cycles de sommeil que nous faisons chaque nuit à la quantité d’oxygène de chacune de nos respirations. Avec une telle configuration, personne n’a plus le droit de ne pas se sentir bien !
Les entreprises comprennent que le bien-être des collaborateurs agit sur leur performance et le style de management en place accompagne cette prise de conscience. Mais quand il s’agit du monde du travail, où les enjeux de pouvoir et de l’argent prônent, la question se pose : dans quelle mesure le bien-être au travail est-il possible ?
Quand il y a de la concurrence, des intérêts et des différences qui opposent les collaborateurs et les entreprises qui exigent la rentabilité, comment faire pour engendrer de la bienveillance ? Soyons francs, il n’est pas possible de contenter tout le monde avec des augmentations et des promotions quand ils le veulent. On ne peut pas non plus accorder la même valeur aux compétences et aux niveaux hétérogènes. Dans un tel contexte d’inégalité, peut-être faudra-t-il voir le bien-être au travail sous un autre angle ?
C’est en effet existentiel, cette question du bien-être au travail. On ne peut pas être au travail comme on est à la maison. On oublie notre propre confort quand les dates limites et les consignes doivent être respectées. En contrepartie on a la satisfaction d’avoir produit et/ou accompli quelque chose. La rémunération perçue par la suite est une forme de reconnaissance. Mais ça ne suffit pas pour rendre le milieu professionnel plus agréable à vivre.
Pour atténuer des sentiments d’injustice, favoriser l’accès aux opportunités, encourager l’acquisition des nouvelles compétences, et proposer de solidifier les acquis.
Être à l’écoute de ses collaborateurs est une forme de reconnaissance et facile à mettre en place. Un simple système de points hebdomadaires avec chaque membre de son équipe pourrait suffire.
Aider les collaborateurs à se faire confiance et faire confiance aux autres, ce qui est essentiel pour un bon esprit d’équipe.
Encourager la pratique du sport pendant les heures de travail. Quand on est bien dans son corps, on est mieux dans sa tête.
Comme le bien-être au travail commence avec soi, faciliter leur participation aux ateliers ou cours dans lesquels ils peuvent apprendre à se mettre en valeur.
Comment les collaborateurs chez Squadeasy définissent-ils le bien-être au travail ? Par le respect de l’autre et la capacité d’être soi-même en toutes circonstances. Le bien-être peut également s’exprimer par des attitudes, par des animations et par des sentiments. Il peut se manifester aussi par un bon encadrement quand on commence un poste et un mentoring régulier tout au long de son parcours dans l’entreprise.
Et vous ? Comment définissez-vous le bien-être au travail ?
Si la pratique du sport en entreprise est devenue un enjeu primordial pour tout employeur responsable, elle n'en est pas moins bénéfique pour tous vos salariés. Vos besoins sont variés, notre solution est singulière grâce à une technologie de pointe et des challenges ludiques au service d'une expérience unique d'activité physique connectée.